Les récifs artificiels du projet 3DPARE ont été pensés par le partenariat, conçu par l'Université de Cantabrie et déployés le long de l'Arc Atlantique, en Espagne, au Portugal, en France et en Angleterre.
Immergés dans la baie de Saint-Malo, les 9 récifs artificiels français sont désormais suivis sur chaque saison jusqu'en mai 2022 par le MNHN de Dinard. L'objectif est de comparer la biodiversité avant et après l'installation en mer de ces infrastructures, conçues pour favoriser le recrutement d'espèces cibles locales.
Le projet 3DPARE a pu voir le jour grâce au soutien de l'Europe via le programme de coopération transfrontalière Interreg Arc Atlantique.